Ceci est un Projet....
Que celles et ceux qui souhaitent y prendre part, viennent vers nous..... (Céleste et Henri-Etoile):
La trame de cette romance en est une rencontre, fortuite, dans un lieu public, festif, puis une promenade, et un voyage.......urbain, rural, ferroviaire, grands Espaces, etc. agrémenté de rencontres.........artistiques, culturelles, troublantes, surprenantes...
Le point
Vous en avez là ci-dessous, des passages……en confidence… (Points de départ du projet)……
et ces premiers dialogues, étaient empreints d'érotismes, de scénarios......
Céleste a en "retenu", un des passages..........
ce passage, faisant suite à un moment de rencontre.....dans un petit "club"......
une Femme Séduite lors d’un moment de danse,
danse en première approche physique, érotique et sensuelle
puis, pour résumer...
je lui demande de retirer lentement sa culotte, devant moi........
et je choisis de la guider, vers cet escalier, issue de secours du club........étroit escalier.....le vigile en haut.....
elle a donc retiré sa culotte, lentement..pour me la tendre...........
du bout de ses doigts..........
puis je l'ai guidée, oui, à passer devant moi, dans l'escalier...la suite, est cet extrait, vécu en dial un soir, avec Céleste et qui constitue la part du conte de Lentrepeaux.........
mais je pense parfois à l'escalier, et au vigile
oui, le vigile.......dis-moi.........
a ce conte évoqué
lequel, Chérie........
que tu as utilisé cette femme que tu emmenais
oui j'aimerais, beaucoup, vraiment, te toucher ainsi, dans un escalier, par derrière....
et cette rencontre avec le vigile dans l escalier
ton corps tout entier, comme contrôlé par ce vigile........
ses mains, qui vont à son pantalon, puis qui viennent, à ton visage, à tes épaules.........
alors que mes mains, passent sous ta robe........
ta culotte glissée, dans ma pochette de veste......
te sachant nue, dessous, gainée de tes bas........
le sexe de l'homme, qui apparaît, érigé, énorme, dressé et palpitant
chéri
je te devine...
tout me lâche la
ma tête lourde
et ce sexe, érigé, devant ton visage.......tes mains..........qui, penchée en avant, cherchent appuis..........
mes mains découvrent les douces et tièdes chaleurs de ta chair gainée.........
de tes jambes pleines et rondes
mes mains qui se posent, d'abord sur tes mollets, remontant doucement, par cotés.....
te sentant, chancelante, mes mains se font fermes..........
tu m'as choisi, mon Trésor, ce soir là............gorgée d'envies, de cet Homme......en Toi
si Présent en Toi..........
Fin du dialogue instantané
Contexte masculin :
De passage dans cette Ville, j’arrive dans cet hôtel du centre-ville, en fin de journée pour m’installer. Soir d’été, l’hôtelier me fait part d’un lieu pour se rafraichir à proximité, un lieu de conférences, d’expositions, de petits concerts aussi, à l’occasion, où les gens, dansent dans une magnifique petite cave voutée, à l’occasion de certaines soirées, un lieu où passent et se retrouvent pas mal d’artistes, de gens des environs, bref, un lieu de détentes…. Parfois du monde, parfois personne…
Je suis habillé légèrement d’un ensemble clair, en lin, une chemise claire, aussi, mocassins, parfumé légèrement et mes pas me mènent donc ainsi, vers la vieille ville…
Cela n’aura pas été tout…..déposer sa valise, l’ouvrir, préparer un pyjama a aérer immédiatement, pour en évacuer les parfums confinés entre poche « Pullman » et housse de Delsey….puis la trousse de toilette……à défaire, sur l’espace réduit, entre vasque et miroir….faire en sorte là aussi d’aérer le blaireau, la brosse à dents…….d’un hôtel à l’autre….navigant entre urbain et rural, comme un guerrier des temps modernes…..un coup d’œil à la fenêtre…..mur végétal, c’est mieux que le toit de la cuisine qui dégueule et pue le gras…..en sifflant de l’extracteur jamais réglé……puis c’est le tour des chaussures, au cuir ciré……usé à la corde……dégager les passages, pour ne pas s’étaler, en cas de parcours nocturne……dans le sommeil…..bien repérer la cuvette, pour expulser les trop pleins…….